Presse

| 2019 – 2022 – Le testament de la tante caroline|

Des nombreuses belles critiques sur le Testament de la tante Caroline d’Albert Roussel avec les Frivolités Parisiennes et « son irréprochable plateau » (Alain Cochard pour Concertclassic.com), je retiens mon plus beau compliment « Christine superbement idiote » de Laurent Bury pour Forumopera.

 

| 2017 -David Le Marrec / Carnet sur sol |

« Marion Gomar – un véritable soprano dramatique pas du tout hurlant, d’une éloquence incroyable, à couper le souffle. […] elle a clairement l’étoffe des grandes Sieglinde, au minimum. » 

 

| 20 septembre 2015 – Hier au Théâtre |

« Nicole Genovèse n’oublie pas d’insérer des chansons originales en ayant recours à une « chanteuse finlandaise » fantasque : tel un diable à ressort, elle surgit de son armoire magique et déboulonne tout sur son passage.
La mezzo-soprano Marion Gomar conquiert l’espace comme une walkyrie triomphante. »

 

| 21 septembre 2015 – La Terrasse |

« intermèdes musicaux menés par une burlesque cantatrice finlandaise à la très belle voix »

 

| 24 septembre 2015 – Matinale France Inter (Christian Bauby) |

« Mention spéciale à Marion Gomar, mezzo-soprano, qui nous régale pendant une heure et demie d’interventions en cantatrice finlandaise absolument époustouflants. »

 

| 5 octobre 2015 – le magazine.info |

« l’occasion de découvrir une jeune mezzo-soprano, Marion Gomar, qui allie merveilleusement le burlesque aux vocalises. Vraie bête de scène, ce rossignol vaut à lui seul le détour. »

 

 

Matthieu Munoz

| 12 octobre 2015 – Le JSD  – Patricia Da Silva Castro |

“Marion Gomar/ Voix rêvée”  –  Extraits choisis  –  Lire l’article en entier

“Chanteuse lyrique: petite, elle s’imaginait en diva d’opéra. En ce moment à l’affiche d’une pièce au théâtre du Rond-Point, elle incarne avec talent et malice une cantatrice finlandaise.
[…]
À 29 ans, Marion est à l’affiche de Ciel ! Mon placard au théâtre du Rond-Point. Dans ce vaudeville déjanté, elle est la “cantatrice finlandaise” et ponctue de respirations musicales les scènes. Ou plutôt de vocalises et de souffle, tant sa voix est claire et puissante. “Je suis Falcon. Pour situer, c’est entre la soprano dramatique et la mezzo.” Une tessiture liée à des rôles wagnériens, notamment. Ça tombe bien, elle adore le compositeur allemand. Dans la pièce, elle a imposé un morceau de rap. “Mon caprice.” Ado, elle prenait des cours de danse hip-hop à la Ligne 13. “Je fréquentais aussi L’Écran et le TGP”, avant qu’elle n’emménage avec sa famille en centre-ville de Saint-Denis, à 14 ans. Elle a en effet passé son enfance à la Porte-de-la-Chapelle.

À la maison, c’était l’auberge espagnole. Je baignais dans une sorte d’intelligentsia culturelle.” Quand elle a 6 ans, en CE1 (bonne élève, elle a sauté une classe), son père tombe sur une annonce de la Maîtrise de Paris pour ses classes à horaires aménagés musique (CHAM). Sa candidature n’est pas retenue. Sauf qu’à sa rentrée en CE2, à la faveur d’un désistement, elle est convoquée pour une audition “le lendemain” ! Branle bas de combat chez les Gomar.

 

 

Elle présentera la comptine Tchou Tchou dans le train en bonne fille de cheminot qu’elle est. Ses parents redoute sa déception. Ils n’imaginent pas qu’une fille de “prolos” puisse intégrer ce milieu. Elle, confiante, sort de l’entrevue pouces levés : “C’est dans la poche !” Ultra motivée, elle a séduit le directeur : “Elle est trop drôle.”

Dans cette école du 8e à Paris, elle apprend la musique quatre heures par jour : piano, solfège, chant, chœur… “Une grosse formation, et gratuite. “J’ai fait toute ma scolarité dans le public”, revendique-t-elle, fidèle fibre familiale militante. […]

En 2010, dans le cadre d’Erasmus, elle s’installe à Leipzig “la ville la moins chère de l’ex Allemagne de l’Est”. Elle y rencontre “une prof extraordinaire” qui lui apprend la liberté du chant, de la scène. Décroche une bourse au mérite, valide un master chant opéra. En 2014, retour au bercail, “l’humour et la bouffe me manquaient” […]

[…] Elle se souvient avec émotion d’un concert donné en 2007 aux 4000 dans le cadre de “10 mois d’école et d’opéra”. Une quarantaine de gosses a entonné avec elle Voi che sapete, de Mozart. “C’est pour ça que je fais ce métier.” […]”